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Delane SI
Opportunités et évolution du métier de consultant
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Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis consultant en finance de marché, après un passage de gérant sous mandat en Private Banking.
J’ai démarré ma carrière en 2000, après un Master en Finance en école de commerce.
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Pourquoi vous êtes tourné vers le conseil en finance de marché ?
Le conseil est la seule voie qui vous permet d’allier la haute technologie à la haute finance et d’évoluer dans un univers culturel exceptionnel (Europe, les Amériques, l’Asie, l’Orient, le Maghreb, l’Afrique). Les grandes banques sont implantées aux 4 coins du monde.
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Qu’est-ce qui vous a attiré chez Delane SI ?
Delane Si couvre l’ensemble des métiers de la finance et c’est un cabinet très dynamique et très à l’écoute de ses ressources.
Delane SI, ne fait pas de la quantité mais de la qualité. C’est important que le ou la consultant·e se sente bien en clientèle afin de donner le meilleur de lui ou elle-même. Nous portons et représentons les valeurs de notre cabinet.
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Quelles sont les opportunités de mobilité au sein du cabinet ?
C’est en fonction de tout un chacun. Si on est curieux et qu’on veut tout connaître du métier, il faut juste le manifester et s’en donner les moyens. La mobilité est à la fois verticale et horizontale : on peut choisir de rester dans un même univers de métier tel le CIB et d’évoluer en son sein ou aller sur différents métiers (CIB, Asset Management, Gestion Privée, Assurances, Retails, Métiers titres…).
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Selon vous, diriez-vous que le profil d’un consultant a évolué ?
Il ya 20 ans les activités de conseil étaient en silo. On était soit métier, soit fonctionnel, soit technique, soit gestionnaire de projet.
Il ya 10 ans les fonctionnels étaient leads et devaient faire aussi un peu de technique et gérer les projets.
Aujourd’hui la technique a pris le lead et on a inventé l’activité de « Product Owner », regroupant le métier et le fonctionnel. Le nouveau métier « Data Scientists » est au milieu.
Les profils demandés évoluent également. Dans le conseil, les jeunes diplômés d’écoles d’ingénieurs ont plus la côte que ceux des écoles de commerce.
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